Un bêtise de plus à rajouter dans le carnet d'Helga ! - pv godric - SX -

Qu'est ce qui...

Journée complètment débile. D'abord : Prise de bec avec Salazar, comme d'habitude, emsuite : Un tas de Serpentard accroche de pauvre petits première année de Poufsouffle au plafond. Ça m'as pris facilement une heure pour tous les décrocher ! Ensuite : Une Gryffondor un peu étourdie trensforme son amie, par accident, en navet géant qui parle. Trois heure pour lui enlever tout ce violet de sur le corps ! Ensuite : Le dîner ce passe comme prévu et puis un Serpentard en insulte un autre ... l'autre lui tire un peu de nourriture mais c'est celui derrière qui le reçoit ! Ça fini en guerre commestible !

Je suis dans mon lit depuis la fin de la guerre commestible et cela fait officiellement au moin cinq heures que je tente, en vain a mon grand désespoire, de trouvé mon ami le sommeil.Je me retourne d'un côté a l'autre. Sur le dos, Sur le ventre ... Rien ne semble marcher. Peut-être devrais-je envisager le coup de massue ? Je fini par décider de me lever.

Ma chambre était non loin de la salle commune de ma maison. Ce qui veux dire belle vue sur l'enceinte du château. Je m'en approchai. Tout était si noir. La forêt interdite avait l'air encore plus menaçante qu'as son habitude. Une chauve-souris passa juste devant le carreau de verre. Je sursautai. Je m'éloignai et alla me voir dans le miroir a la lueur d'une bougie.

Mes cheveux brun-roux en bataille, cerne sous les yeux, un simple as de pyjama comme habillement. J'entendis cogné a la porte. Qui pouvait bien venir ici a cette heure. Si c'était un élève je souhaite pour lui qu'il ne soit pas de m maison, car là en ce moment même je suis de très mauvais poil.

Lorsque je regardai par la fente je remarquai que c'était Helga. Avait-elle un souci ? J'ouvris la porte.

-Qu'est ce qui...commençais-je

éJe n'eut pas le temps de terminer. Elle se jeta sur moi et m'embrassa. J'était plus que surpris, mais je ne la repoussai pas. À quoi bon de toute façon je ne dormirai pas. Lorsque j'eut complètement repris mes esprit je lui rendit ses baisers. Après un certain temps je me reculai un peu, pas trop, pour ne pas qu'elle crois que je la repousse justement.

-Ça va ? demandais-je juste pour être certain que rien de malheureux ne lui arrivait.

Ca va ?

Parfaitement bien

-Parfaitement bien

Je ne m'obstinai pas. Elle repris en force là où je l'avais arrêter créant en moi des sensations que je n'aurais jamais cru pouvoir ressentir. J'enroulai mes bras autour de sa taille continuant de l'embrasser.

Je connais Helga depuis une éternité. Si j'avais su qu'elle avait des sentiments pour moi, j'aurais surement réagit ... surement. A mes souvenir Elle n'avait jamais réellement eut de petit ami. Comment peut-elle si bien embrasser ? me demandais-je mentalement. Je me demande qu'elle sentation donne les baisers de Rowena ...

Naturellement je ne peut m'empêcher de penser a elle. Qu'ais-je fait pour mériter un truc pareil ? Si je le saurais je pourrais peut-être m'éffondrer, pleurer un peu, le supplier de m'enlever la malecdiction qu'il m'as collé a postérieur et recommencer une vie globalement normale.

"Oublie-là un soir au moin !" Me forcais-je a dire dans ma tête.

Je vais me rende malade a force. Là j'était déchirer que part Rowena, maintenant, je vais probablement l'être entre Rowena et Helga. Vraiment super. Salazar n'as pas ce problème lui ! Je n'aurais jamais cru penser ça aujourd'hui mais je l'envie. Quoique j'ai, pour le moment, une très bonne position.

Je reculai doucement jusqu'à ce que les derrières de genou(Oo" ??) d'Helga frôle le rebord de mon lit. Je sentais les lèvres d'Helga carresser a un rythme constent les miennes. Mes mains caressait doucement son dos. Je n'osai pas faire plus, après tout c'est la première fois que je vois Helga sous ce jour, quoique je ne m'en plaint pas.

Je t'aime

Ses petites mains fines me retirère mon chandail et je lui retirai sa robe de chambre. Je reculai un peu mon visage, question de la détailler un peu. Elle portait une simple nuisette blanche avec de la dentelle. Qui eut cru qu'Helga pouvait mettre autant son corps en valeur ? Pas moi du moin. Pas qu'elle ne soit pas belle, au contraire, c'est juste que ce n'est pas vraiment son genre. Une légère odeur de vanille flottait sur sa peau. J'approchai mon visage de son cou, humai un peu l'odeur avant d'y déposé de tendre baisers.

Les mots d'Helga me touchère. J'aurais voulu lui rendre la pareil, mais je me retint. Bien qu'elle se soit fait une place importante dans mon coeur, elle n'as pas effacer Rowena. Lui dire de tels mots serais un peu comme un mensonges puisque mon coeur ne lui appartient pas totalement.

Je me limitai a ses hanches. Je ne voyais pas mes mains allé plus loin. Helga se colla à moi, je reculai encore un peu pour la faire tombé doucement sur le dos.

Je m'abandonnai. Après tout Helga est une femme. Pas qu'elle n'en à pas l'air mais bon, je suis apparement le seul a me comprendre. Je fit doucement glisser mes mains les long de ses cuisses pour me retrouvé sous sa nuisette je remontai jusqu'as ses hanches, remontant aussi la nuisette.

Il remonta ses mains jusqu'aux hanche d'Helga. Elle avait tellement l'air d'une poupée comme ça, étaller sur le lit avec Godric au dessus d'elle, s'abandonant à la jeune femme. Quand elle était venue dans l'espoir d'avoué ses sentiments à Godric, elle n'aurait jamais pensait qu'elle réagirait ainsi de manière aussi excessive. Un simple « Godric, je suis amoureuse... » il lui aurait alors demander de qui, et elle se serait défiler en le décrivant lui mais de façon à ce qu'il ne se reconnaisse pas. Il en aurait parler à Rowena et elle lui aurait dit. A partir de ce moment là elle n'aurait plus jamais pu se regarder dans un miroir... Elle serait tout simplement partis loin.
Godric remonta ses mains jusqu'à son ventre, tout en parsement son cou de baisers. Si quelqu'un les voyaient, ils étaient très mal. Ils étaient quand même sencé avoir un minimum de dignité. Elle faillit le repousser, oublia. Sa carrière avait été parfaite, une petite entorce ne ferais pas de mal. Il la fit reculer encore, de façon à ce que sa tête soit sur l'oreiller de Godric. Son lit était immense pour une seule personne. Comme les lits de tout les créateurs d'ailleurs. Mais la jeune femme n'eut pas vraiment le loisir de détailler la chambre de son ami. Elle passa ses mains sûr le torse nu de Godric, le caressant tendrement... C'était le début de ce qu'elle croyait être la fin on pourrait dire. Un nouveau départ était en train d'être créer.

J'avais la vague impression de faire une très grosse bourde. Mais c'est plus fort que moi. Je pesai le pour et le contre plus d'une fois. Mais malgré le fait que les contre avait un point de plus que les pour je ne pouvais m'arrêter. Mes mains était en mode arrêt sur les hanches d'Helga. Comme s'il m'était moralement et physiquement impossible d'allé plus loin.

J'avais l'impression qu'au moindre petit faux mouvements elle se briserait en m ille morceau. J'avais aussi l'impression qu'un diable était sur mon épaule gauche et un ange sur celle de droite. Il font un débat.

"Continue ! Va plus loin ! C'est pas un bibleau !" M'hurla mon diable imaginaire.
"Tu fait une grosse bourde Godric ! Tu devras en assumer des conséquence. Des conséquence que tu n'est probablement pas prêt a assumer . Il n'est pas trop tard pour arrêter." Me chuchota le petit ange.

Malgré les bon arguments de l'ange, mon corps et mon coeur suivire les conseils du diable. Bien que j'ai peur des conséquences. Mes mains continèrent a montées jusqu'à ce qu'elle enlève la nuisette d'Helga. Je m'arretai quelques secondes, j'arretai tout et regardai tendrement Helga.

-Tu est certaine de vouloir allé plus loin ? lui demandais-je. Si tu veux arrêter tu sait, je vais comprendre continuais-je.

C'est vrai. Je ne pourrais lui en vouloir après tout. Ce qu'ont s'apprête ou qu'o s'apprêtait a faire n'était pas quelque de tout planifier. ni même quelque chose a laquel j'aurais pu penser. M'enfin, j'y ai surement pensé, mais as avec Helga. Je n'aurais jamais penser que se serais avec elle. Je me contentai de l'embrasser légèrement pour lui laisser le temps de réfléchir.

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